Le secret de la laideur des femmes à Berlu

Berluscon, le grand pitre italien, est un Don Juan notoire. En effet, quelle femme serait capable de résister au charme du grand leader de la Botte ? ( Au sujet duquel tout le monde est unanime pour reconnaître qu'il est à la politique italienne ce que Marc Levy est à la littérature, ce qui n'est pas peu dire... )
On peut se demander, cependant, pourquoi il ne séduit en général que des thons. Etant donné sa position, il pourrait se permettre beaucoup mieux. Sa femme, Véronica Lario, personne à part lui n'en voudrait : elle jouait autrefois dans d'horribles films sanglants, elle est franchement moche, non ?  Tout homme de bon goût l'affirme.
Sa dernière maîtresse en date, la petite Noémi Letizia, est un laideron comme on en fait peu. C'est une petite pétasse, même pas majeure quand elle a baisé avec ce vieux porc, qui dandine du cul en tant que mannequin pour des fringues pourries... Un séducteur n'en voudrait même pas sur une île déserte.
Alors, qu'est ce qui explique les goûts de chiotte de Berluscon en matière de femmes ?
Simple : Berlu est un homme de tradition. Il n'a jamais oublié que le symbole de Rome était la Louve.
Or, la photo ci-contre le prouve de façon incontestable : Véronica et Noémi sont les portraits tout crachés de véritables louves. Donc, il est désormais facile de déduire que Berluscon ne trempe son biscuit dans des foufounes repoussantes que par pur patriotisme.

      Ressemblance                troublante,
        non ?